Il y a plusieurs raisons pour lesquelles ces événements ont un poids essentiel. La première : Le cardinal Grech a, une fois de plus, rappelé qu'il n'y a pas d'ordre du jour pour le Synode des évêques. Face à ceux qui veulent utiliser la réunion synodale comme un point d'entrée possible pour des changements doctrinaux ou des questions idéologiques, le cardinal Grech a imposé un arrêt très spécifique. L'intention, selon lui, n'est pas de faire des révolutions. Il s'agit de créer un style.
Ce style a été discuté lors du Conseil des cardinaux, qui est le deuxième événement le plus important. Parmi les intervenants figurait le théologien Piero Coda, qui a été l'un des pères du document sur la synodalité de la Commission théologique internationale en 2018. Il a expliqué que la synodalité et la hiérarchie ne sont pas, et ne peuvent pas être, en contradiction.
Enfin, la réunion des curés s'est achevée par une séance de questions-réponses avec le pape François, qui a ensuite initié tous les curés du monde à une mission synodale. Mais même dans ce cas, le rôle des évêques reste inchangé et leurs décisions sont toujours finales et décisives. En...
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